30 novembre 2012

La storia di Francis Bensignor [parte 3]

Testo di Francis Bensignor

De retour à la maison, j’ai du déposer mon carton de miniatures au 1 :87ème dans un coin, et certainement ne plus jamais y toucher, sauf à l’occasion de mes différents déménagements !
Cette fois c’était décidé, je me lançais dans le 1 :43ème !!

Dès cet instant, j’ai toujours pris soin de noter dans un cahier à spirale le nom de chacun des modèles que je reproduisais, ou que j’essayais de reproduire ( ! ) ainsi que la base utilisée…et plus tard la date exacte d’achèvement du modèle.
 

J’ai toujours ce cahier. Dans les débuts hélas, , les indications étaient peu précises, et n’ayant aucune photo de mon 1er essai au 43ème, tout ce qu’on peut lire est que je m’étais essayé sur une Fiat 124 1600 Sport…civile ?…je ne crois pas …groupe 2 ? …peut-être…mais j’aurais tendance à plutôt penser qu’il s’agissait d’une Fiat 124, peut-être utilisée en course de côte, dont la carrosserie avait été transformée.

Ce qui m’y fait penser, c’est ceci, quelques 20 modèles plus tard , je notais : Fiat 124 Silhouette 1ère version , puis plus tard encore, une Fiat 124 Silhouette 2ème version
 
et que l’on retrouve ici, en compagnie d’une Porsche 908-2 Camel Le Mans 1973
 

Pour les Fiat, je me servais de la 124 Auto Pilen, la Porsche était une Solido.

Mes bases de départ allaient de Mebetoys à Politoys en passant par Solido et pas mal de Norev, comme en témoignent cette Lancia Stratos et cette Ligier JS 2 Tour de France Auto 1973
 

J’avais un gros penchant pour les Ligier JS 2 de 1973, j’avais totalement flashé sur le jaune et le vert BP !

Sur une base Norev, j’avais aussi reproduit cette numéro 14,engagée à Dijon 1973 et qui se retrouve ici dans une situation totalement anachronique. J’avais d’ailleurs exposé ce décor quelques temps dans la vitrine des « Jouets du XX ème siècle » et quelqu’un avait du le trouver à son goût car je ne l’ai plus jamais revu ! Je ne me souviens plus si la voiture avait aussi disparu comme par magie !…cela aura fait au moins un heureux !
 

A l‘époque les décalcomanies « after market » n’existaient pas encore vraiment, ce qui me donnait l’occasion d’affûter mes pinceaux et d’utiliser mes petits pots de peinture Humbrol.

Ma jeunesse et ma fougue n’avaient peur de rien, ici sur la Stratos…tout est fait au pinceau…je sais, bien sûr ça se voit ,mais il fallait oser !!


Comme ici avec cette Porsche Carrera Longue Queue SUNOCO sur une base Mebetoys
 

Ou ces 2 Porsche du Mans, la Carrera 2,7 l. 3M de 1973 et la 3 l. TISSOT de 74, toutes deux des Solido.
 

La chose qui m’intrigue, et m’amuse beaucoup quand je relis les annotations de mon fameux cahier, c’est le fait que j’ai réussi à vendre la plupart des modèles inscrits sur les 2 premières pages ! Qui pouvait bien acheter ça !? Si un lecteur se reconnaît en tant qu’acquéreur de l’une ou l’autre de ces antiquités…1974 se terminait, j’allais bientôt découvrir le kit…mais pas que...

29 novembre 2012

La storia di Francis Bensignor [parte 2]

Ecco la seconda parte della storia di Francis Bensignor "scritta da lui medesimo", stavolta purtroppo senza foto a corredo, ma spero che ci rifaremo nella terza parte. Ricordo ai lettori che possono trovare la prima parte della storia a questo link.

Quelques mois s’écoulèrent durant lesquels, malgré le conseil de Jean Liatti, qui m’avait recommandé de m’exercer sur du 1:43ème, je restais fidèle au 87ème. Comme je l’ai dit précédemment , le choix était à mes yeux plus vaste, les prix étaient plus abordables pour moi, et enfin il me suffisait de descendre chez le libraire de mon quartier pour m’approvisionner en nouveaux modèles.

Automne 1973 … Jean m’avait aussi indiqué une adresse où pas mal de passionnés se réunissaient, je ne sais plus très bien si c’était un ou deux samedis chaque mois, ou tous les samedis ,mais chacun venaient montrer fièrement ses dernières réalisations.

Cette adresse est entrée dans la légende du modélisme, tout du moins pour nombre de collectionneurs Français, il s’agit de la boutique « Les jouets du 20ème siècle ».

La boutique de modélisme du Raincy, banlieue Est de Paris.

Le propriétaire, Monsieur Périchard, un nom qui reste gravé dans la mémoire de bien des maquettistes de l’hexagone, aura contribué, sans vraiment le savoir à l’époque, à mettre en contact des entités du modélisme auto, dont un certain nombre allaient en faire leur métier. Ce lieu aura fait office de creuset en fait .

Que ceux que j’oublie me pardonnent, mais en plus d’y retrouver là-bas Jean Liatti, j’y faisais aussi la connaissance de Jean-Marc Teissèdre et de son épouse Evelyne, Dominique et Yves Esparcieux, Jacques Ribière, et un certain André-Marie Ruf.

A cette époque,on parlait essentiellement de et on travaillait sur des Dinky Toys, des Solido, des Norev, des Mebetoys et des Politoys.

C’est donc avec ma grosse expérience de plus d’un an de bidouillages sur mes 1:87ème,que je débarquais pour la 1ère fois dans les lieux. Tout content de moi, j’avais dû ramener dans un carton fermé une dizaine de petits modèles., quelques-uns parmi ceux que vous avez pu découvrir plus haut. Par un pur hasard ,ou par bonheur je dirais plutôt, vous allez comprendre pourquoi ,avant de me rendre dans le local où se tenait la réunion, je passais par la boutique…et là, j’y prenais une claque magistrale ! Le genre de claque dont on se souvient toute sa vie ! Avant de monter à la réunion, un autre adhérent du club, était là, en train de montrer ses réalisations à Monsieur Périchard, et tout comme moi, il ne faisait que du 1:87ème.

Mais j’avais là sous mes yeux des Porsche 917, des 911, et il me semble aussi des BMW Gr2 d’une fidélité et d’une qualité incroyables, avec les vraies décos reproduites…entièrement au pinceau, le tout avec finesse irréprochable ! Moralité, je suis monté assister à la réunion, mais mon carton est resté sous mon bras, soigneusement fermé !! J’avais pris ma leçon numéro 1 : Comment et pourquoi passer du 1:87ème au 1:43ème !

28 novembre 2012

La mostra mercato di Faenza si trasferisce a Ravenna


La mostra mercato di Faenza (ex-Imola) si trasferisce a Ravenna. Il 12-13 gennaio 2013 si svolgerà infatti presso il Pala De André (viale Europa, 1 - orario 9-18.30) la tradizionale borsa romagnola. Per ulteriori informazioni cliccare QUI

27 novembre 2012

Ferrari 512S Sebring 1970 [a cura di Umberto Cattani]

Giusto due righe per ringraziare Umberto Cattani, che ha accettato di collaborare per il blog. Le idee ci sono, l'esperienza è fuori discussione, quindi non resta che augurarvi buona lettura e buon divertimento.

Ferrari 512S
12 ore Sebring 1970
Ferrari Collection 1/43
A cura di Umberto Cattani

Vittoria sul filo

 
21 Marzo 1970, dopo 12 ore di gara, la Ferrari 512S guidata prima da Vaccarella e Giunti poi, nelle fasi finali, da Mario Andretti, si aggiudicò l'unica gara della stagione. Teatro della vittoria, la Florida, nello specifico il vecchio aeroporto di Sebring, solo 23 secondi separarono sul filo del traguardo la Sport italiana dalla Porsche 908 di Peter Revson e Steve McQueen. La gara fu ricca di colpi di scena, la 512 spider di Andretti e Merzario, a lungo in testa, fu costretta al ritiro a causa di noie al cambio, ma la Porsche 917 di Rodriguez, subentrata al comando della corsa, nemmeno lei  ebbe fortuna. Un portamozzo, sollecitato dalle imperfezioni del manto stradale, rese l'anima, offrendo alla Ferrari la vittoria su un piatto d'argento.

Nelle restanti otto gare del campionato, la casa di Maranello ottenne solo dei piazzamenti, mentre Porsche collezionò altrettante vittorie, totalizzando 63 punti contro i 39 dell'avversaria. Un debacle difficile da digerire...

I collezionisti più navigati conoscono bene il modello realizzato da Solido una quarantina d'anni fa nella classica scala 1/43, per tanto tempo restò un mostro sacro nelle nostre collezioni. Riproduceva la vettura che corse a Daytona, la decorazione era incompleta, la linea però risultava piuttosto fedele ed era provvista di portiere apribili. Per quegli anni, era quanto di meglio si poteva pretendere. Il costo era di circa 2500 lire, ben oltre quanto richiesto dalla nostrana Politoys ma le caratteristiche erano già quelle del pezzo da collezione mentre la casa italiana era più indirizzata verso il mondo del giocattolo.

Il tempo è trascorso, di 512S se ne sono viste molte, soprattutto nell'ambito artigianale. MPA, FDS, GPM ed ultimamente Tecnomodel, si sono interessate al soggetto, con risultati più o meno incoraggianti.

Come diecast, erano molti ad attendere l'uscita in edicola della 512  con gli orecchioni, dopo quanto realizzato da Brumm. Non crediate si tratti della versione romagnola della 512 (gli orecchioni sono un primo ricco di calorie che le azdore preparano nei dì di festa) ma con questo termine erano identificate le prime 512, provviste di carenatura sul cofano posteriore e di orecchie dinamiche d'aspirazione, poi abbandonate nel prosieguo della stagione.

L'attesa dei collezionisti è andata delusa, almeno in parte.

La linea generale è buona, ma sono i dettagli a recitare un ruolo da comprimari.

Font dei numeri di gara fantasiosi, qualche decalcomania inesatta oppure mancante, sfoghi d'aria verticali di coda figurati solo con una vernice nera opaca, interni discutibili, alette di coda incomplete vanificano i sogni degli appassionati. La 512 che vinse a Sebring era altra cosa ma, per poco meno di 13 euro, è possibile acquistare quella che è destinata a divenire la base per un'elaborazione alla portata di tutti, con spesa relativa, ovviamente senza pretendere troppo e scendendo a qualche compromesso.

Lasciamo quindi ai tuner più estremi la responsabilità di prove modellistiche eccellenti, spesso chi si accontenta e si diverte in questi lavoretti mette in vetrina la soddisfazione personale più che la perfezione.
 
Ecco il modello da cui siamo partiti, prezzo di vendita poco
meno di 13 euro, decisamente poco elevato.

C'è crisi, quindi spazio al fai da te, ai pezzi di recupero, all'inventiva. Negli anni del dopoguerra, ci si riempiva la pancia con tanta fantasia, dopotutto...
 
Prospettiva di coda, diversi gli errori evidenziati nel
testo. Font dei numeri, mancanza di alcuni dettagli come i faretti
che illuminano il numero sulla portiera.
Per prima cosa, si deve scegliere una delle opzioni offerte dal modello: una rinfrescata generale oppure una più radicale operazione che richiederà interventi invasivi. Noi abbiamo optato per quest'ultima iniziativa, ma ognuno è libero d'esprimersi come meglio crede.
 
I fari mascherati proprio non ci piacciono, mano quindi a
frese, acetato e gruppi ottici firmati Stefano Adami.

Qui ci siamo limitati a qualche miglioria; rendere aperte le
zone dipinte in nero opaco sarebbe stato un lavoro troppo
impegnativo viste le caratteristiche di base del modello.

Piuttosto semplice separare il modello dal pianale, grazie a
viti a croce.
 

Un lavoro approfondito richiederà quindi il rifacimento della scocca, partendo dalla sua completa sverniciatura. Ma solo se sarete in grado  di recuperare tutte le decalcomanie necessarie sarà possibile rivolgersi a questo tipo d'elaborazione.

Dopo un bagno nel solvente -sono necessarie diverse ore perché lo smalto è tenace- la scocca sarà pronta per una ripulita generale. Lime e carta vetrata saranno protagoniste assolute. La carrozzeria è priva di grosse imperfezioni, quindi sarà sufficiente una finitura di routine. Come tinta, si è scelto il rosso Fiat 120, senza l'applicazione del trasparente finale, allo scopo di seguire più da vicino le caratteristiche della 512 originale. Quattro o cinque mani leggere e ben stese sono sufficienti per ottenere la giusta lucentezza dello smalto.
 
Altrettanto semplice scomporre la 512 nei suoi pochi
elementi di base.

Dopo un bagno nel solvente di un paio d'ore, la carrozzeria
è lucidata e pulita dalle piccole bave di stampaggio. Buona la lega
utilizzata per le fusioni.

Al posto dei tappi di rifornimento, ricavati nella stampata,
saranno incollati particolari after-market. La loro sede è già stata
realizzata grazie alla fresa, accessorio indispensabile per ogni
modellista che si rispetti.
Per gusti personali, non apprezzo molto le coperture dei fari mascherate. Preferisco di gran lunga i gruppi ottici bene in vista. Spazio quindi alla fresa perché la coppia di fari centrali va aperta e lavorare sullo zama non è agevolissimo. E' facile invece rimpiazzare il piano verticale che ospiterà le parabole principali, ricavandolo da un foglio di lamierino. Analogo materiale è usato per ottenere i deflettori di coda inclinati. Sul modello infatti questi particolari s'interrompono troppo presto mentre nella realtà terminano in corrispondenza dell'arco del passaruota. Il lamierino va quindi tagliato, adattato poi stuccato per ottenere il profilo ottimale.
 
Come già accennato, trattandosi di un modello da edicola con un pedigree limitato, siamo scesi ad un compromesso: in coda, non sono state aperte le bocche verticali, troppo il materiale da asportare e problematico il lavoro che ci attenderebbe aprendo queste porte...

Spazio quindi alla vernice nera, satinata perché rappresenta meglio i giochi d'ombra. I cerchi con relative gomme sono stati rimpiazzati da altri, al centro sono inseriti bulloni in alluminio. Il tergi a compasso è ora in metallo fotoinciso, sul lato destro è inserita una presa aria supplementare davanti alla ruota posteriore, ricavata anche questa da un foglio di lamierino. Sempre su questo lato, in corrispondenza della portiera, vanno praticati due fori che ospiteranno le lucine che illuminano i numeri di gara.
 
Sul lato sinistro sarà incollata la presa d'aria
supplementare, in Florida fa sempre molto caldo...
La carenatura del vano motore è ben riprodotta, va solamente aggiustata nel bordo inferiore per togliere qualche lieve imperfezione nello stampaggio. Le aperture orizzontali delle persiani vanno simulate grazie a filetti neri in decalcomania. Gli interni sono storicamente sbagliati: i sedili ed i pannelli orizzontali di copertura sono stati rimodellati e dipinti in rosso amaranto opaco, la strumentazione è stata aggiunta al pari del selettore del cambio, fotoinciso. La leva che aziona le marce è ora un pezzo tornito, il tutto naturalmente proviene dalla magica scatoletta dei ricambi. Cinture in tela con relative fibbie fotoincise completano finalmente gli interni, così più fedeli. Il profilo del lunotto che separa l'abitacolo dal vano motore va dipinto in rosso per regalare un tocco finale prezioso.
 
In coda saranno incollati i due flap di sostegno, realizzati
in lamierino. Supporteranno lo stucco per raccordare quelli
originali, incompleti.

Non dimenticate la pedaliera, anche questa fotoincisa, magari a lavoro finito non si vedrà ma voi, sapete che c'è e tanto basta!

Come già sottolineato, la coda deve scendere a compromessi, ciò nn toglie che potremo rimpiazzare i terminali di scarico con tubicino d'alluminio su cui applicheremo le coperture antifiamma, anche queste ritagliate ad arte dal solito ed immancabile foglio di lamierino. La scatola del cambio va dipinta utilizzando un mix di vernici oro ed alluminio.
 
I particolari ora sono incollati in sede, con un prodotto a
base cianocrilata.

Stucco a palate, sull'anteriore un profilo in resina
cosparso di grasso consente di modellare perfettamente la zona dei
fari centrali, ottenuta con frese e lime.
Avendo tolto le tre asole su cui era inserito il parabrezza, rimpiazzato da un elemento termoformato, il cruscotto va stuccato anteriormente.

Dopo la verniciatura, il modello passa direttamente nel reparto grafico: le decalcomanie sono importanti e vanno applicate ad arte. Non dimenticate la parte inferiore della carrozzeria dipinta in alluminio, naturalmente. Mano poi al pennello, spazio all'elettrauto- i fari anteriori sono quelli realizzati dal celebre tuner Stefano Adami-un ultimo ritocco di colla per applicare il deflettore sul tetto dato che l'originale, ricavato direttamente in fusione, era inadeguato, ed il vostro modello sarà pronto per la vetrina che potrà essere quella originale, una teca che ci sembra adeguata al prodotto.
 
Anche gli interni sono bisognosi di cure amorevoli, gli
originali erano del tutto fuori luogo.

Si provano le scarpe nuove, corredate da bulloncini e gomme
adeguate.

Sul lato destro sono praticati due fori per ospitare le
lucine d'illuminazione per i numeri. In basso, ecco la presa aria supplementare.

I faretti centrali hanno ora la loro sede, privata della
copertura originale.
 

Vi siete divertiti? Noi lo speriamo, guardando al portafoglio, abbiamo materializzato ed ottimizzato al meglio la massima "poca spesa, grande resa". Non sarà un capolavoro "giallo" ma è pur sempre un'onesta riproduzione della vincitrice della 12 ore di Sebring 1970. Altri tempi, altre corse ed altre realtà, un tuffo in un passato che probabilmente alcuni non conoscono e la scusa per sfogliare qualche bella pagina di storia, ma di quella grondante benzina, olio e passione. Insomma, uno sguardo pieno di nostalgia per quel Mondiale Marche che molti di noi hanno vissuto celebrando l'eterno duello tra i due cavallini. Nel 1970, la giumenta di Stoccarda vinse con parecchie incollature di vantaggio ma ci sarà poi l'occasione per prendersi qualche rivincita.
 
Sul tetto è stato eliminato lo sfogo d'aria ricavato per fusione.
Al suo posto, spazio all'acetato.

Gli interni sono pronti, radiatori, pedaliera, selettore
cambio e fibbie delle cinture sono fotoincisi.

La scocca, dipinta alla nitro e priva di trasparente, è terminata;
sono servite quattro mani per ottenere una superficie lucida
e compatta.

Il modello è finalmente pronto per la vetrina, sono state
necessarie alcune ore ma tutto è filato via senza troppi problemi. Il
parabrezza originale è stato rimpiazzato da un altro in acetato.

L'altro lato della 512, quello visibile dai box.

Un tre quarti di coda, aprire gli sfoghi aria sarebbe stato
problematico, accontentiamoci di dipingere le zone in nero satinato,
tinta che regalerà il migliore compromesso tra luci ed ombre.

Dal sovrappasso di Sebring era possibile vedere la 512
vincitrice in questa prospettiva...

Calate le tenebre, la 512 si è privata delle coperture sui
fari. A noi, piace più così, senza occhiali da sole... Stefano Adami
con le sue belle lampadine in scala illumina la strada!
 

26 novembre 2012

La storia di Francis Bensignor [parte 1]


Con questo intervento, Francis Bensignor inizia una collaborazione col blog, raccontando di persona la propria storia. Bensignor non credo abbia bisogno di tante presentazioni: il suo nome è legato alla produzione AMR, avendo firmato alcuni fra i modelli più belli, come la Chevrolet Monza o la Beta Montecarlo Turbo. La sua "mano" è inconfondibile, come quella di tutta una scuola francese formatasi nella seconda metà degli anni settanta. Personaggio poliedrico, è un'autentica autorità in materia di NASCAR, e gli appassionati avranno sicuramente apprezzato i suoi numerosi interventi nel Forum Auto. La parola, adesso, al testo originale, e alle prime foto, assolutamente inedite, che documentano una storia rimasta nascosta per troppo tempo.

"Petit, comme la plupart des garçons, j’étais attiré par tout ce qui avait plus ou moins 4 roues.

Vers l’âge de 4 ans, j’habitais dans un des quartiers populaires de Paris, j’ai assisté un beau matin en direct, à un carambolage au carrefour du coin…je me rappelle que l’une des 2 voitures était une 2CV Citroën grise. A cause de sa suspension très…souple, elle avait fait un énorme saut en l’air ! Je ne crois pas qu’il y eu de gros dégats pour les conducteurs,

Mais ce fait divers aura peut-être eu son influence sur mes goûts futurs en matière de sport automobile.

Bien plus tard, à la fin de l’année scolaire 1971, un camarade de classe est revenu des 24 heures du Mans complètement enthousiasmé. A cette époque, il y avait longtemps que mes préférences étaient surtout orientées « musique et demoiselles »… ou même peut-être plutôt « demoiselles et musique »…oubliées les voitures !

Mais mon copain était si excité par ce qu’il venait de voir et entendre, que l’année suivante, en 1972, j’ai décidé de faire aussi le voyage du mois de juin.

Après ce jour, je comptais une passion de plus : le sport auto.

Je voulais tenter de retrouver en miniature ce que je venais de découvrir sur le célèbre circuit. Mais le modélisme était totalement inconnu pour moi. Je ne savais pas où trouver des modèles, je ne savais pas ce qui existait ou n’existait pas. Je ne savais rien sur rien !

Bien sûr, je connaissais des noms comme Solido ou Dinky Toys, mais ces modèles ne rentraient pas dans mes possibilités de budget !

Et comme il faut un début à tout, et qu’il est dans mes habitudes de commencer petit, je me suis tourné vers l’échelle du 1 : 87ème
Les prix étaient inférieurs à ceux du 1:43ème, et je trouvais bien plus de choix !

Au départ, je ne saurais dire pourquoi, je n’ai jamais essayé de vraiment reproduire des modèles réels…certainement parce que j’étais conscient de mon niveau….très bas ! Sans doute aussi une manière de m’entrainer, de me rôder. Je laissais libre court à mon imagination et à mes pinceaux, me contentant de m’inspirer de modèles réels, et plutôt en essayant d’« inventer » des décorations imaginaires.

 

Mais au bout de quelques mois, la barbouille ne me suffisait plus, j’avais envie de transformer les formes, d’élargir les ailes, de rajouter des ailerons ! Mais à nouveau, je me retrouvais face à mon ignorance…comment et avec quoi gonfler des ailes ou faire un spoiler ?

Et la réponse, je l’ai eue, un jour, dans une boutique de Paris. Je venais justement pour poser mes questions, et un habitué des lieux se tenait là, devant le comptoir…c’est de sa bouche que j’ai entendu pour la 1ère fois le mot « Sintofer »…j’aurais pu tomber plus mal, celui qui venait de m’apporter la révélation s’appelait Jean Liatti !

Grâce à lui, le Sintofer était entré dans ma vie ! Je lui en serai toujours reconnaissant !

Restait maintenant à passer à l’acte, et les débuts furent…enthousiastes, je ne trouve pas d’autres qualificatifs…"
 
 

25 novembre 2012

Borsa di scambio all'Hotel Delta Florence di Calenzano, 25 novembre

L'edizione del 25 novembre della tradizionale borsa del soldatino e del giocattolo d'epoca di Calenzano (Firenze) è stata senza dubbio di un certo interesse, non tanto per gli appassionati di 1:43, quanto per alcuni pezzi molto belli della produzione Ingap, Tippco e Mercury, in ottime condizioni di conservazione. Moltissimo pubblico è accorso fin dall'orario d'apertura e le tre sale dell'Hotel Delta Florence erano davvero affollate (a proposito, del tutto inutile il riscaldamento a livelli inaccettabili, specie in una giornata tutt'altro che fredda come quella di oggi). Fra gli artigiani dell'1:43, presente il solo Pantosti, ma altri spunti interessanti rendevano comunque la borsa un evento simpatico per trascorrere qualche ora; come si suol dire, non roba da giustificare un viaggio di 200 chilometri, ma comunque un appuntamento di richiamo per Firenze e dintorni. Ingresso gratis con offerta libera, è una formula che sembra funzionare. La parola alle immagini.